Pour passer le meilleur hiver possible, un arollien de souche a besoin avant tout de tourisme. En début d'année, il ralentit son métabolisme pour économiser ses réserves d'énergie contenues dans les graisses, c'est le fameux creux de janvier : un arollien de souche en fuite à la mi-janvier dépense jusqu'à 160 fois plus d'énergie qu'habituellement. Leurs pattes fines et leurs grandes oreilles les empêchent de se déplacer facilement.
Grâce à la mise en place de zones refuges sur le domaine skiable, il n'est pas rare de voir des arolliens de souche à haute altitude, en quête de réconfort, attendant la reprise des perturbations répétées dues aux skieurs, perturbations indispensables à son régime bien-être.
Vous pouvez aider la faune :
- en évitant de suivre leurs traces
- en évitant de jeter vos déchets dans la nature
- en gardant les chiens en laisse
- en évitant le bruit entre 22h00 et 06h00 (grandes oreilles hyper-sensibles)
- en évitant de nourrir la grande faune aux abords et en dehors des zones habitées
de souche!