En raison des conditions inhumaines qui sévissent dans le val d'Aglagla, les premiers touristes de l'été - déchaînés- ont dû abandonner leurs véhicules aux Haudères, se vêtir de gros manteaux d'hiver et ont été contraints de continuer la montée à pattes sous la bonne garde d'un accompagnateur de moyenne montagne dépêché sur place.