17 avril 2009 - la fin du Fléau Social

[arollablabla]

Vols à l'étalage, vandalisme, pollution, absence d'éducation, troubles nocturnes, incivilités, les 150 hooligans -jeunes vagabonds inadaptés et sans encadrement- qui circulaient en bandes lors de ces deux dernières semaines semant la terreur et l'effroi tant sur les pistes que dans le village ont enfin, enfin, ENFIN pris le large...

Toutes nos pensées vont à leurs familles qui seront dans la douleur des retrouvailles...

[urs.umbricht]

Lieber Krik

Schade, dass du nicht mehr Verständnis für die Jugendlichen aufbringst.

[arollablabla]

Les groupes de jeunes ne sont pas tous des hooligans, bien au contraire... en fait, les jeunes sont hyper sympas...

sauf :

- quand ils font tomber les enfants sur les pistes de ski
- quand ils hurlent pendant la nuit
- quand ils volent
- quand ils cassent
- quand ils ne respectent pas les autres dans les files d'attente
- quand ils jettent tous leurs déchets dans la nature

Cette bande là, personne ne les regrettera, ils ne respectaient qu'une seule chose, c'est la liste ci-dessus, au complet, comme chaque année à Pâques...

[olivier.libersa]

La trève de printemps s'annonce! Tu vas pouvoir profiter du calme de la nature et de la sérénité de la montagne en attendant le mois de juillet et le retour des estivants!!!

La fonte des neiges a débutée!! Keep Cool!!

(Mais je te comprends parfaitement, la jeunesse n'explique pas tout devant de tels comportements .)

[famille.favez]

Etant à Arolla ces deux dernières semaines, je ne peux que comprendre Christophe. Je suis enseignant et j'ai fonctionné comme chef de camp dans de nombreux camp de ski avec adolescents. Il y a parfois un ou deux problèmes isolés, mais l'attitude arrogante de ce groupe envahissant et ne respectant rien se remarque tout de suite : dès leur arrivée avec deux immenses cars munis de remorques frigorifiques pour la nourriture importée, et un minibus bloquant la route même au car postal. Dangereux sur les pistes, j'ai dû appeler le samaritain pour un petit blessé à la jambe. Heureusement, habitant les Marmottes, je n'ai pas été dérangé la nuit car ils étaient trop paresseux pour monter du centre alpin jusqu'aux Marmottes.